Décharges sauvages : un drame met en lumière ce problème

Le récent drame de Signes (Var), avec le décès de son maire, met cruellement en lumière un phénomène de plus en plus inquiétant pour l’environnement : celui de la multiplication des décharges sauvages illégales, et plus particulièrement de la part d’entreprises du BTP.

Pour ces sociétés, c’est une solution rapide et gratuite, contrairement aux déchetteries qui font payer les dépôts des professionnels et ne sont pas ouvertes tous les jours. L’aspect économique n’est pas anodin car l’artisan qui ne paie pas pour la décharge, alors qu’il a déjà soit facturé à son client soit inclus dans sa prestation voit alors un moyen rapide et pratique d’augmenter son bénéfice, au détriment de l’environnement. La Fédération Française du bâtiment estime à 10 millions de déchets annuels (isolants, verres, gravats, etc…) le volume de matériaux qui auraient besoin d’être recyclés. Mais les déchetteries refusent de plus en plus les déchets des professionnels, même si plus de 4.500 déchetteries ont été ouvertes ces 20 dernières années. Les professionnels bénéficient eux de 500 lieux de collecte, bien insuffisant pour absorber le total du volume issus des professionnels du bâtiment.

Le décès du maire, même si accidentel, a eu lieu dans ce contexte : des artisans qui déversent les gravats d’un de leurs chantier, qui se font prendre sur le fait  par un maire qui leur demande de récupérer ce qu’ils ont déposés. Car pour une société qui se fait prendre la main dans le sac, combien sont impunies ???

Les services propreté, voirie ou même la police municipale se trouvent confrontés au même problème : celui de pouvoir prendre les personnes sur le fait, et ensuite poursuivre de façon efficace les contrevenants.

Une des solutions a souvent été de chercher des indices parmi les gravats : nom, adresse ou toute information permettant de relier ce dépôt à une personne ou une société. Car la preuve du dépôt est difficile à établir si on n’est pas rapidement sur les lieux.

Quelles sont les solutions envisageables ?

Une des solutions passe par les caméras de vidéo surveillance. Mais les caméra de vidéosurveillance ne sont pas forcément positionnées de façon adéquate, et servent principalement pour les infractions routières.

Pourtant une nouvelle solution de lutte contre les dépôts sauvages est en train de voir le jour : celle des caméras mobiles (ou nomades) de vidéo surveillance. Ces caméra peuvent être disposées à proximité d’un lieu de dépôt et peuvent se déplacer en fonction des besoins. Elles sont alimentées par un candélabre et sont connectées par wifi. Inconvénient : il faut donc une source d’électricité à proximité, donc plus difficile pour les endroits isolés ou à proximité d’une forêt.

La société DURUS SECURITE à résolu ce problème en proposant:

UNE CAMERA VIDEO NOMADE  REELLEMENT AUTONOME

Il n’est plus nécessaire de la connecter à un candélabre car elle fonctionne avec une batterie et a une autonomie de plus de 6 jours. Les vidéos par cette caméra nomade sont transmises par le réseau GSM 4G donc pas de raccordement à la fibre optique. Il n y a plus besoin de creuser des gaines techniques donc une économie importante et une rapidité de mise en place évidente. Les vidéos par cette caméra nomade sont transmises par le réseau GSM 4G donc pas de raccordement à la fibre optique. Il n y a plus besoin de creuser des gaines techniques donc une économie importante et une rapidité de mise en place évidente.

Enfin une caméra vidéo nomade vraiment autonome, qui peut se déplacer et s’installer rapidement en fonction des besoins.

Toutes les images vidéo peuvent être visionnées grâce à un portail sécurisé, à distance sur un écran de PC, un Smartphone ou une tablette. Les enregistrements  vidéo peuvent être enregistrés et téléchargés sur un PC pour une exploitation future. On peut relier la caméra nomade à un centre de surveillance urbains (ou CSU) avec une intégration possible à des éditeurs de type GENETEC. On peut aussi programmer des rappels emails en fonction des zones à surveiller : plus besoin de passer des heures à visionner les enregistrements.

Cette solution est donc parfaitement adaptée à la problématique des dépôts sauvages.

Pour en savoir davantage sur la caméra nomade, nous-contactez: T : 01 71 11 34 36 ou nomade@durus-securite.fr